
"Pourquoi faut-il qu’il y ait toujours des pistolets dans les histoires, ai-je songé. C’est convenu, fastidieux, sans surprise mais bon, je suppose que c’est une figure imposée"
Les sirènes de la rentrée littéraire de janvier m'ont hurlé dans les oreilles que le dernier Echenoz était dans la boîte... J'ai cédé, faible femme que je suis, alors que je m'étais jurée de finir septembre avant...
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