juin 2016

     « Vivez ! vivez la merveilleuse vie qui est en vous ! (...) Cherchez de nouvelles sensations, toujours ! Que rien ne vous  effraie !" Avec son ambiance londonienne et victorienne parfaitement restituée, brouillard enveloppant et costumes d'époque, l'adaptation théâtrale du merveileux roman d'Oscar Wilde " Le portrait de Dorian Gray" m'a enchantée. Ouh comme j'aime le théâtre... Je ne cesse de dire à mon amie Julie qui m'accompagnait vendredi soir que nous devrions nous faire une pièce...... [Lire la suite]

                                                                                                              ... [Lire la suite]

    "Le carrot pudding, ancêtre du carrot cake actuel, est né au Moyen Age alors que le sucre était un ingrédient très onéreux auquel on chercha un substitut. Ainsi les carottes (...) devinrent l'ingrédient principal de ce gâteau original. Durant la seconde guerre mondiale, le rationnement du sucre contribua à nouveau au succès du carrot cake toujours très apprécié par les anglais" (in "Made in London", p. 63)   J'ai voulu tenter un Carrot Cake pour le mois anglais de Cryssilda et Lou (plus... [Lire la suite]

  Comme tous les vendredi ou presque, je sacrifie au rituel et vous livre mes Etats d'esprit, dont les initiateurs sont Fédora et Mr Postman du Voyage aux pays des nombres :) Alors... où en suis-je qui suis je où suis-je dans quel état j'ère en ce milieu d'après-midi du jeudi 16 juin? Fatigue : ça va, ça va, j'ai la pêche! Humeur : pas mauvaise, malgré la pluie qui rend tout gris... Estomac :  anglais toujours, j'ai préparé un carrot cake apprécié par mon Poupouce , par mes collègues, mais pas au goût... [Lire la suite]

  "Écrire commence dans le corps, c'est la musique du corps, et même si les mots ont un sens, s'ils peuvent parfois en avoir un, c'est dans la musique des mots que commence ce sens". Etonnante et merveilleuse, cette chronique d'hiver qui m'a permis de renouer avec un écrivain cher à mon coeur, j'ai nommé Paul Auster. A "l'hiver de sa vie", Auster remet les compteurs à zéro et livre un récit autobiographique à la deuxième personne du singulier. Je n'ai jamais été très à l'aise avec ce procédé, je le trouve généralement... [Lire la suite]

"Londres, grâce à l'émergence de jeunes chefs talentueux, propose désormais autre chose que du "fish and chips" et de la "jelly" qui bloblote. Elle est riche d'influences du monde entier, de son histoire avec le continent asiatique, notamment avec la Chine et l'Inde (...) mais aussi du petit grain de folie qui caractérise les anglais" (in "Made in London", p.5)   Je me suis offert un petit livre bien sympa, histoire de prouver à mon p'tit mari qu'on peut manger anglais et gastronomique ! :) Pour lui, c'est incompatible... [Lire la suite]

Quels sont-ils, mes Etats d'esprit de ce jeudi soir, à 18h25 ? Avant de vous les révéler, (détendez-vous, ça arrive, ça vient, deux secondes) je vous rappelle que l'idée de ce rendez-vous est de Postman et Fédora ! Allez, c'est parti, je vous sens au bord de l'explosion :) fatigue : crevée, mais je tiens le choc humeur : pas terrible, on va pas se mentir estomac : en ce moment je suis branchée gastronomie anglaise (mais si, ça existe, mauvaises langues) mon p'tit mari beaucoup moins... (il se... [Lire la suite]

  Scally, je l'aime beaucoup, et c'est avec elle que j'ai envie de démarrer ce mois anglais, organisé par Cryssilda et Lou. Ses scones sans moule, sans emporte-pièces, sans rien du tout, non je plaisante il y a du beurre, de la farine et tout ce qu'il faut pour se régaler, sont inratables et délicieux. Je pense très rarement à préparer des scones, mais quand j'en fais, c'est cette recette là que je suis impérativement : Il faut, pour réaliser 8 scones : 225 g de farine, 1 sachet de levure chimique,... [Lire la suite]

  "Cher Monsieur Diakgite, Je me permets de vous écrire car j'ai reçu, au métro Porte d'Orléans, un prospectus à votre nom dont l'exergue ("PAS DE PROBLEME SANS SOLUTION") a attiré mon attention. Je vous avoue qu'en dépit de ma nature sceptique et de la réputation épouvantable de votre profession, vous avez réussi à m'intriguer. Peut-être est-ce l'usage de formules percutantes alliant la simplicité du propos à la force de frappe du marketing? Car voyez-vous, monsieur Diakgite, mon partenaire "ne court pas derrière moi comme... [Lire la suite]